Keith ! Keith ! Keith !
Ce blog s’appelle « Ask Keith » et c’est pas pour rien. Vous l’avez lu énoncer ses réponses de vieux sage sur son site web, aux gens venus consulter en lui la pythie du rock ? A lui tout seul, il est la parole stonienne incarnée.
Keith sait. Ou fait semblant de savoir. Et nous embobine souvent. Son discours est nébulo-circulaire. Il fait le tour du pâté de maison pour ne jamais s’attaquer au centre du sujet, c’est une tactique ancienne qui fonctionne encore plutôt bien. Et comme personne ne le brusque ni ne le pousse dans ses retranchements, la tactique n’est pas prête d’être abandonnée.
Keith sait. Ou fait semblant de savoir. Et nous embobine souvent. Son discours est nébulo-circulaire. Il fait le tour du pâté de maison pour ne jamais s’attaquer au centre du sujet, c’est une tactique ancienne qui fonctionne encore plutôt bien. Et comme personne ne le brusque ni ne le pousse dans ses retranchements, la tactique n’est pas prête d’être abandonnée.
Keith enjolive et ne raconte jamais deux fois tout à fait de la même façon : il sait qu’un plat doit être accommodé juste un peu différemment à chaque fois pour continuer d’exciter les papilles.
Keith est un type parfaitement immobile, qui emploie une énergie considérable à ne pas bouger d’un iota. Ce qui lui en reste est peut être destiné soit à se convaincre lui-même que ce n’est pas nécessaire, soit à en convaincre les autres. Keith est le type le plus conservateur qui soit. Mais je l’aime quand même (oh oui !).
A noter que lorsqu’il parle à Manœuvre, il devient plus. Plus spontané, plus grossier, plus quoi. Je n’ai pas tranché sur qui, de Manœuvre ou de la traduction, est cause de ce changement.
Pour le moment, là, c’est de l’angliche et de l’amerloque. A vos Harrap’s version argot sixties…
La plus belle, l’interview de 71 à Rolling Stone, dans la tropical disease de Nellcôte, on l’a en version papier seulement. Idem pour une interview de 74 reproduite dans Best, mais issue du NME (ou du MM ?). Donc on verra si techniquement, c'est possible de les mettre ici plus tard, en bonus. A part ça, le bonhomme est bavard, de l’interview, ça va, on en a… Ca tombe vraiment très bien, c'est le plus intéressant, Charlie aussi le dit alors...
A noter que lorsqu’il parle à Manœuvre, il devient plus. Plus spontané, plus grossier, plus quoi. Je n’ai pas tranché sur qui, de Manœuvre ou de la traduction, est cause de ce changement.
Pour le moment, là, c’est de l’angliche et de l’amerloque. A vos Harrap’s version argot sixties…
La plus belle, l’interview de 71 à Rolling Stone, dans la tropical disease de Nellcôte, on l’a en version papier seulement. Idem pour une interview de 74 reproduite dans Best, mais issue du NME (ou du MM ?). Donc on verra si techniquement, c'est possible de les mettre ici plus tard, en bonus. A part ça, le bonhomme est bavard, de l’interview, ça va, on en a… Ca tombe vraiment très bien, c'est le plus intéressant, Charlie aussi le dit alors...