mardi, août 17, 2004

du fond de l'internet au fond de mon micro

Les Stones s'expriment autrement que par riffs et feulements interposés, et c'est parfois pas mal du tout. On en a une autre vision en tous cas, et je préfère encore leurs réponses évasives (mais en direct) aux propos qu'on leur prête, archi-déformés par la légende, le marketing et les projections et fantasmagories personnelles de tout un chacun...

Principalement issues de la presse anglo-saxonne, où ils sont interviewés parfois sur plusieurs jours (le journaliste passant quelques jours avec eux, s'il a un peu de chance), ces moments de rock ont été pêchés le plus souvent sur le web... Il sera temps de voir plus tard si on y met aussi quelques scan d'articles qu'on a sur papier...

Honneur à Charlie, qu'on a pas attendu de savoir malade pour aimer. Il parle peu à la presse, il déteste l'exercice, on le sait. J'ai deux interviews de lui, l'une de Télérama (c'est en anglais, c'est à dire que c'est une traduc de français traduit de l'anglais...), l'autre de The Observer. Toutes les deux de la même période, aux alentours de la fin d'un certain siècle.